CHAPITRE 1 : le lycee.
le mercredi 3 septembre 1990, je m'en souvien comme si c'etait hier. il pleuvais se matin la, et j'entendais mes pas sur les pavé au sol faire un bruit de sabot de chevat du au clou que j'eu du metre pr eviter de trop vite les abimer. au coin de la rue de l'ecole "Mompelier st jean" un petit etai entouré de quelques jeunes. je cru au debu que ceux ci etai ces amis, mais c'est en coutant leur bafouillages que j'avais compris que ca n'etait pas le cas:
" tu as de l'argent comme prevu?"
"non, ma maman n'en a plus et je ne peut pas vous en donner aujourd'hui"
"tu connais la sentence!"
le plus grand, mais peut etre pas le plus agee des trois garcon qui ne devai pas etre la bonne compagnie du petit commenca a l'atraper par le col et lui dechiras sa chemise. comme une alarme a l'interieure de moi, je couru en criant " lachez ce gamin bordel!" et les jeunes, en m'ayant aprecu courir se mirent a prendre fuite... j'ai racompané le petit a l'ecole, et pris la direction de la salle des professeur d'où je ne connaissais personne.
le directeur vin vers ma direction et se presenta a moi. mr Lombert, un homme tres genti et a premiere vu rempli d'amour pr les enfant, du moins ceux qui on l'aire plutot genti. il me fit faire le tour de table des professeur, le professur de sport dans la salle de jym, le concierge dans sa loge qui du se depecher de cacher sa bouteille de porto a notre arrivé, puis l'infirmiere, mme DeCassin. suite a tout ce petite rafu, les eleves commencais a entrer pour 9.30, le responsable s'empressa donc de me confier mon emploi du temps ainsi qu'une feuille m'expliquant la disposition des salles. en effet, elle etai disposer en trois partie. le premier etage re presentai toute les salles commencant par un 1.., le second par un 2.. ect... mais ele etai egalement classer par symetrie. par exemple, le deuxieme chifre de la salle (0 ou 1) representai la facade sur laquel on devai se trouver pr rentrer en cour. donc la salle 215, la ou je devais me trouver pour acceuillir mes eleves se trouvais au 2eme etage, a la facade 1, autrement dit, a droite.
la route du matin meme, sous la plus m'avais un petit peut fatigué, et je voulu emrenter l'assenceur. en entrant dans celui-ci, une feme dionc le visage ne m'etai pas inconnu laissa tomber un papier en sortant:
"avis au professeurs...
le nouveau souterrain INTERDIT AU ELEVES est actuellement disponible...
vous y trouverez tout ce dont un professeur a besoin, bureau colectif, salle de cafee, et pour le plaisir de mr le directeur, un billard.
acces a cette salle:
entrez dans la salle 215 et empruntez la trape sous la table pres de la premiere fenetre en partant du fond.
cette letre ne doit en aucun cas tomber entre les main d'un eleve.
respectueusement..."
une salle? privee? reserbé au professeur? il fallait vraiment que j'en sache plus!
la sonnerie d'entree de cour retentis, et on entaidait des bruits de chahu et des cris provenent de la salle 215. lorsque je suis entree, les bruit sesserent, et une feuille etait posé sur mon bureau. j'ai prit le temps de poser mes affaire, d'ouvrir mon cartable en peaux noir de chez Brincard, un des plus grands magasins de peaux de paris, pris une crai et inscrivis mon nom au tableau : Mr Rilou.
contrairement a se que je m'attendais, les eleves ne riairent pas. commbien de fois ai-je entendu en sortant de cour "Rilou le voyou" ou encore "Rilouette je te plumerais...". mais la les eleves etait presque indiferent, on dirait meme qu'il ne portait aucune importence a mon nom. cela pouvait-il provenir du fait que ce soi des lyceen?
je pris l'enploie du temps des eleves que j'avais demander a une fillette du premier rang, pouvoir s'il n'y avais pas de confusion avec le mien. les salles paraissaient corectes, ainsi que les heures. je rendit cet emploie du temps a la jeune fille, et sorti des fiche de connaissence, c'est ainsi que les applait mon professeurs a l'epoque ou j'aitais de l'autre coté du bureau.
une fois ces fiches distribuées, je pris le temps de lire le papier que j'avais appercu il y a quelques minutes auparavant. c'etait le meme que celle de lafemme a l'escalier.
apres une longue heure de travail avec mes eleves, la sonneries me surpris au cour d'une phrase. les eleves s'empresserent de sortir sans meme se prendre le peine de noter le travail du lendemain. je rangais mes affaires lorsque j'apercu une feuille, gribouiller de quelques mot. je ne serais pa surpris qu'on me dise que cette feuille avait ete ecrite a la derniere minutes:
" nous avons la feuille concernant le sous sol des professeurs. veuillez etre indulgent avec nos notes ou nous porterons pleinte vis a vis du lycee, comme ca vous perdrez votre travail ainsi que tout les professeurs."
que devais-je faire? en informer le directeur? obeir a ces petits? il etait temps que la journee se termine que je puisse aller me reposer aupres des bras de ma charmente femme Patricia.
